Narita Boy

Œuvre maitresse ! Fin.

Allez, nous allons un peu parler du bijou développé par Studio Koba.

Commençons par dire qu’il s’agit d’une aventure avec un pixel-art qui fait le bonheur des plus exigeants. De plus, le jeu possède une infinité de références aux jeux vidéo, à la télé, à la littérature ou aux bandes-dessinées pour que le joueur se sente identifié et, par conséquent, rentre beaucoup plus dans le jeu.

Le système de jeu est un scroll-latéral, chose très chouette pour les différents défis de plateformes que nous devrons surmonter pour massacrer les ennemis qui se mettront sur notre chemin avec notre épique Techno-Épée.

Le titre nous submergera dans l’époque des années 80, comme si nous étions dans Stranger Things, mais sans Demogorgon (nous pourrons jouer tranquillement), dans laquelle le Créateur a développé une console connue sous le nom de Narita One, dont le titre d’enseigne est Narita Boy, qui est un succès total. Des millions de copies sont vendues, mais ce que personne ne sait c’est que, dans le code binaire, le règne digital se connecte à la réalité. Le méchant Him est revenu et a effacé la mémoire du Créateur et du programme superviseur, Motherboard, et ses agents ont activé le protocole Narita Boy.

Nous incarnerons le héros qui doit sauver le monde !

P.S: la bande-son fera que vous vous retrouverez coincé ou parfois même vous vous arrêterez par vous-même pour profiter de celle-ci. IM-PRE-SSIO-NANT.

Sérieusement, ce jeu mérite la peine d’être joué si vous aimez les jeux vidéo (et c’est vrai).